Commencer l’année nouvelle avec vous, entre bobines et tissus derrière un coin d’azur tranquille, voilà ce que j’avais envie de faire ce matin. Ce blog n’a pas encore un an mais il est ce que je retiens de 2014 : il m’a permis de traverser sereinement une année parfois éprouvante et de ne pas me retourner avec amertume sur certains échecs. Avant de vous souhaiter le meilleur pour 2015, je tenais donc à vous remercier pour les messages reçus ici et là, pour les encouragements chaleureux, pour l’inspiration que j’ai pu trouver sur vos comptes instagram ou vos blogs. Je souhaite que 2015 apporte à chacune et chacun d’entre vous une grande part de bonheur, quelques mètres de tissus et beaucoup d’idées joyeuses et inspirées. Et je prends quelques libertés – si vous me le permettez- pour vous embrasser chaleureusement sur les deux joues!
(In italiano alla fine)
Ce n’est pas complètement un hasard si j’ai eu envie de sauter à pieds joints dans l’année nouvelle dans le pantalon « Aime comme Même pas peur » : je ne sais pas trop ce qui m’attend en 2015 mais je suis certaine qu’il va me falloir de l’audace… »encore de l’audace, toujours de l’audace »!
Pour ne rien vous cacher, à l’heure où je vous écris, j’ai déjà cousu cinq versions de ce patron. Il faut dire que j’ai eu la chance de pouvoir m’y mettre dès novembre et que je trouvais justement que mon armoire hivernale manquait sérieusement de pantalons. Avez-vous remarqué comme l’on a tendance à miniaturiser tous les basiques d’une garde-robe? On n’a jamais assez de petites robes, de petits hauts, de petites jupes….En revanche jamais, ô grand jamais, on ne parle de « petit pantalon ». C’est étrange car j’avais justement besoin d’un série de pantalons basiques, c’est-à-dire, de coupe assez classique, facile à assortir, facile à porter, facile à coudre, facile à habiller, facile à rock n’ rolliser : je cherchais le « p’tit pantalon » caméléon, celui que l’on met avec un tee-shirt ou une petite veste, celui aussi qui change d’allure selon l’étoffe que l’on a choisie pour lui : une flanelle…un prince de galle, un lainage un peu extensible et vous voilà avec la tête d’une titi parisienne ou d’une gentlewoman farmer british; un denim fleuri et un perfecto suffisent à vous transformer en égérie romanticorock (Biba et Cosmo ont sûrement donné des noms plus recherchés à ce type d’allures mais je ne les connais pas), une version en lin ou en tencel portée avec une marcel , des mules et un joli chèche vous donneront le chic faussement négligé de la bobo en été. Bref, nous nous comprenons, je cherchais un modèle classique et pratique à coudre afin d’en réaliser autant de versions que j’ai de chemises.
Pour autant, si l’expression « petit pantalon » n’est pas usitée dans le langage courant et que l’on coud moins volontiers de pantalons que de robes ou de jupes, c’est parce que le cas du pantalon n’est pas si évident qu’il en a l’air. Techniquement le pantalon n’est pas ce qu’il y a de plus difficile à coudre…mais il peut comporter une braguette. Voilà qui nous fait hésiter une première fois. Mais le problème du pantalon c’est aussi qu’il constitue le moins « standarisable » (pardonnez-moi ce néologisme) de nos vêtements. Toutes les coupes ne vont pas à toutes les morphologies et souvent le pantalon demande à la couturière un gros travail de retouches pour qu’un modèle lui aille parfaitement. Demandez à Silvia du blog Sewing Princess…elle vous en dira des nouvelles! Je trouve néanmoins qu’avec le « aime comme même pas peur », Marie est arrivée à créer une coupe qui va à une majorité de morphologies, un modèle que l’on peut coudre rapidement et modifier aisément… Même pas peur est donc le patron de pantalon que je cherchais depuis un bout de temps. Mais faisons le tour du propriétaire un peu plus en détails…
Même pas peur est un pantalon avec une coupe légèrement cigarette mais pas trop, une taille ceinturée, légèrement basse mais pas trop (10 cm en dessous du nombril environ), une allure ajustée mais pas trop, des poches italiennes, deux pinces dos et une braguette. La question épineuse de la braguette méritait d’être posée. Avant le « même pas peur » j’avais déjà affronté plusieurs braguettes…à la louche, cinq ou six braguettes avaient fini par céder devant mon acharnement. Elles avaient certes cédé mais à chaque fois, j’étais sortie victorieuse d’un combat long, éreintant, sans stratégie bien définie et je comprenais assez mal comment j’avais réussi à vaincre la bête. J’utilisais les armes que j’avais : internet bien sûr, mon découd-vite et mon encyclopédie de couture (au demeurant fort pratique et très bien illustrée : je vous la recommande !). En général, ce combat « Annie Coton contre braguette » durait entre quarante minutes et une heure et demie…Pour la braguette du même pas peur, j’ai simplement suivi à la lettre les explications sans réfléchir (et en prenant bien soin d’acheter une fermeture dans les dimensions indiquées et avec des dents en plastique : Marie insiste et c’est important pour pouvoir appliquer cette méthode) : en dix minutes c’était plié ! Je n’ai pas hésité une seconde, j’ai compris ce que je faisais, bref j’ai vécu une véritable révolution de la braguette. Je remercie donc Marie pour ses dessins si clairs et Margaux pour ses explications lumineuses : grâce à vous, ma vie de couturière est plus belle!
La version que je vous présente aujourd’hui est la première que j’ai cousue. Si vous regardez attentivement, la pose de ma braguette n’est cependant pas parfaite par ma faute. Quand je mets les mains dans les poches, on voit un tout petit peu la fermeture éclair, ce qui ne devrait pas être le cas. J’ai été un peu trop prudente avec mon fer à repasser et j’ai mal respecté une étape de repassage pourtant bien indiquée : j’avais peur de marquer mon tissu, un velours de coton qui n’aimait pas trop qu’on le repasse…rétrospectivement je pense que cela n’aurait pas posé de problème et que j’aurais dû être plus attentive à ce moment là. Sur mes quatre autres versions, j’ai fait attention et la braguette est parfaite.
Mais justement parlons de mon velours de coton : Marie recommande d’utiliser des tissus contenant un peu d’élasthanne…ce qui n’était pas le cas de mon velours de coton. Je voulais absolument un pantalon lie de vin que j’imaginais depuis l’été avec ma chemise mythique « tatouée pour la journée ». Je n’ai donc pas résisté et j’ai eu de la chance car mon pantalon me va : néanmoins je préfère vous encourager à respecter le conseil de Marie, choisissez plutôt un tissu avec un peu d’élasthanne (qu’importe qu’il s’agisse d’un lainage, d’une gabardine, d’un denim ou d’un wax, du moment qu’il y a un tout petit peu d’élasthanne) : la légère élasticité du tissu est nécessaire pour sortir sans difficulté les pieds du pantalon. Si vous faites la mule obstinée comme moi et que vous choisissez un tissu non extensible, soyez prévenu-e : mieux vaut avoir un talon fin et le pantalon sera moins agréable à porter lorsque l’on s’accroupit ou que l’on s’assoit. Le modèle est initialement conçu pour un tissu légèrement extensible et ne pourra être parfait que dans ce type de tissus.
Deuxième point sur lequel je souhaitais insister : l’entoilage. Marie vous conseille d’entoiler la ceinture. J’ai été une élève beaucoup plus disciplinée sur ce point là. Le fait d’entoiler sa ceinture change vraiment tout : elle ne gondolera pas, vous tiendra mieux à la taille et la boutonnière sera mieux fini. Choisissez un entoilage correspondant à votre type de tissu et si vous avez porté votre dévolu sur un jean épais, vous pouvez envisager de n’entoiler qu’une des deux parties de la ceinture. Vous pouvez aussi découper les pièces dans l’entoilage sans marge de couture afin d’éviter les surépaisseurs au niveau des coutures.
Troisième point et nouvelle illumination couturesque que je ne pouvais pas oublier : grâce à ce patron, j’ai découvert le point renforcé de ma machine à coudre. Toutes les coutures des jambes et entrejambes sont réalisées avec ce point : il s’agit simplement d’un point droit plus solide et légèrement extensible (la machine passe deux ou trois fois au même endroit). Marie vous recommande d’utiliser ce point et je pense que je l’utiliserai systématiquement pour les coutures de pantalon désormais afin qu’elles ne risquent pas de craquer. La plupart des machines en possède un. Sur ma pfaff il s’agit du point numéro 2 et il ressemble à cela :Il peut aussi être représenté par trois rangées de tirets parallèles.
Évidemment si vous êtes amené à faire des coutures rabattues, inutile de sélection ce point.
À part la difficulté-qui-n’en-n’est-plus-une de la braguette, ce pantalon est très facile à coudre. Le temps de réalisation indiqué sur la pochette est de 3 heures 30 et si vous ne vous mettez en tête de ganser toutes les coutures et que vous vous contentez de les surjeter ou de faire un point zigzag, c’est exactement le temps que vous mettrez. Il est extrêmement gratifiant d’avoir un pantalon bien fini et braguetté (tiens c’est une journée à néologismes aujourd’hui) comme il se doit en 3 heures 30…voilà qui complète le tableau de « petit pantalon » potentiel que constitue le même pas peur!
La version que vous voyez correspond à la taille S sans aucune modification. Je me suis fié à mes mesures tailles et hanches (66-89) pour choisir ma taille dans le tableau et cela a convenu.
Je vous parlerai plus longuement des modifications que l’on peut envisager pour donner une allure très différente à ce pantalon mais j’ai voulu commencer par vous présenter la version la plus classique de toute. Sur cette première version, j’ai simplement soigné les finitions en gansant les coutures intérieures et en utilisant les chutes du tissu Jungle d’Anna Ka Bazar de ma robe printanière pour les poches et la ceinture intérieure. J’ai aussi ajouté une poche passepoilée sur la fesse gauche que j’ai oubliée de prendre en photo et des passants pour le cas où j’ai envie de mettre une ceinture.
S’il y a déjà cinq versions de ce pantalon dans ma garde-robe c’est évidemment parce qu’il m’a convaincu et pas parce que j’aime bien Marie ou ses patrons en général. Si j’insiste sur ce point c’est parce que je ne voudrais pas que vous pensiez que je manque d’objectivité concernant les patrons de Marie. C’est vrai que Aime comme Marie est une marque dont la grande majorité des patrons conviennent à mon style et à ma morphologie. Quand je sais par avance que ce n’est pas le cas (à titre d’exemple, je ne peux pas – à mon grand désespoir, porter des patrons comme Mistral ou Melting-Pot), je ne les couds pas. Et quand je les couds plusieurs fois, comme c’est le cas pour la mythique, la mini, la midinette, le marche à suivre, la malice (affaire à suivre…), le mine de rien et j’en passe, c’est qu’ils me plaisent et conviennent à mon type de morphologie. Dans le cas d’un pantalon comme le même pas peur, ces deux critères sont plus que remplis et la facilité déconcertante avec laquelle ce pantalon se coud ajoute à mon enthousiasme. Tout est dit, je crois!
Ah, non, j’allais oublier le plus important : vous pouvez aller voir les versions de by Po, d’Anne et celles de Marie elle-même que vous pouvez apercevoir sur son Instagram par ici.
Le nécessaire
Nécessaire | Description | Coût |
---|---|---|
Tissu et fournitures | 1m30 de velours de coton à 3,30 le mètre, des chutes de tissu jungle d’Anna Ka Bazaar, une fermeture aux dents en plastique de 22 cm chinée à 50 cm, un bouton offert lors d’une commande chez Supercut, de l’entoilage de mon stock | moins de 5 euros |
Patron | Aime comme même pas peur, par Aime comme Marie (patron en français et en anglais) | 14 euros |
Modifications | Ajout de 5 passants et d’une poche passepoilée dans le dos | Ce patron est vraiment accessible dès un niveau intermédiaire : la seule difficulté réside dans la pose de la braguette qui est si clairement expliquée que ce n’est plus vraiment une difficulté |
Je profite de la fin de cet article pour faire un petit clin d’oeil à la personne en compagnie de laquelle j’ai acheté ce velours de coton au marché Saint-Pierre. Nous nous y sommes croisées par hasard un jour où nous voulions nous changer les idées (quoi de mieux que de fouiner parmi les tissus pour se changer les idées). Je sais qu’elle est de nature discrète donc je ne la nommerai pas, mais j’ai vraiment passé une superbe après-midi grâce à elle!
In italiano
Il cartamodello « Aime comme Même pas peur » di pantaloni di Aime comme Marie é degno di questo nome. In francese l’espressione « même pas peur » significa che non abbiamo paura di fare qualche cosa. Di solito, cucire dei pantaloni puo fare paura…Non é facile di capire come cucire una patta dei pantaloni ma con la tecnica e le spiegazioni di Marie e Margaux, per la prima volta, questo mi sembra davvero semplice! É veramente gratificante di cucire dei pantaloni con una patta in meno di quattro ore e gli risultati sono moto riusciti!
Il cartamodello esiste in francese e in inglese e le illustrazioni mi sembrano decisamente chiare. A dirla breve, non esitate a lanciarvi e a curcire questi pantaloni!
Et parce que jusqu’à il y a moins d’un an, porter le pantalon était un acte juridiquement transgressif, j’ai la joie de vous annoncer que nous sommes enfin dans notre bon droit en portant le pantalon :
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Bravo ! tout est parfait ! la coupe, la couleur ……. le stylisme pour la photo….. et les photos !!!!
C’est vrai que coudre un pantalon, ça fait peur. Il faudra que je tente l’expérience un jour, mais quand j’aurais pris un peu plus d’assurance en couture. En tout cas, le tient est très réussi et le choix de ce tissu lie de vin rend vraiment très bien.
Vu ton blog, je pense vraiment que tu devrais te lancer : tu as de très loin toute l’assurance nécessaire pour coudre un pantalon! Merci encore pour ton passage par ici et tes commentaires toujours attentionnés.
Il est top ! Et 5 !!! waouh !
Merci Marick! Et pour les 5 je n’ai aucun mérite, il se coud rapidement et tout seul!
Bravo pour ce joli pantalon, j’ai hâte de voir tes autres versions ! Et quelle rapidité, tu m’impressionnes… J’en profite pour te souhaiter une belle année 2015 ! Bises. Julie
Quelle élégance, quelle belle combinaison de couleurs et de styles ! Une belle année à toi pleine de projets et de créativité ! Le plaisir a été partagé (je suis rentrée presque aphone…), il faudra remettre cela !
Ahah moi non plus je n’avais plus de voix!
Magniquement bien réalisé et porté ! Le choix de la blouse avec est top aussi.
Merci beaucoup ! La blouse, je n’ai pas été la chercher bien loin, c’est monoprix;)
I love your trousers! I’ve had trousers in this fabric and colour on my wish list actually. It’s not an easy colour to find it seems. Now I want to make them even more
Oh thanks Lisa! Yes, it’s quite hard to find this colour…As it’s trendy this year (I read it was the pantone’s colour of the year) maybe in few months we’ll find more burgundy fabrics. I wish you a very happy new year;)
Il te va impeccablement et la couleur pour laquelle tu as opté est superbe.J’ai presque envie de le tenter!Merci pour ton article (où pas :p )^^
mais oui, tente le; tu ne le regretteras pas! Merci beaucoup pour ton message Gaëlle! Je te souhaite une très belle année.
C’est agréable de rentrer de vacances et de lire ton article fraîchement moulu ! Ta version est très jolie, j’aime beaucoup les associations de couleurs que tu as choisies pour ta tenue. J’ai bien envie de voir les autres ! J’ai acheté ce patron au csf quand j’ai vu Marie dedans, et maintenant que Noël est passé je crois que je vais me lancer. Merci pour tes conseils que je vais suivre à la lettre !
Belle année! Et merci pour tes messages toujours si gentils par ici. J’ai hâte de découvrir sur ton blog la version que tu vas réaliser!!
Oh ce pantalon est parfait! Juste hier je pensais pantalon… J’ai envie de voir les autres versions!!! T’as été hyper-rapide. Je te souhaite un 2015 magnifique
Je suis toujours très impressionnée par tes pantalons. Tu fais un travail incroyable que je n’arrive pas encore à faire. Mais je vais suivre ton exemple!
Ohlala… il est très beau ce pantalon, et en velours, j’adore!!! Il faut que je retourne chez Bennytex absolument!
C’est le pantalon parfait. J’admire ta douce ténacité. Une merveilleuse année *couturesque* à toi, Annie Coton!
Chère Hélène, je te souhaite une très douce année. Qu’elle t’apporte beaucoup de joies. Mais je m’attarderai plus longuement par courriel!
Merci pour ton témoignage, toujours très instructif et détaillé ! J’ai ce patron, mais je ne m’y suis pas encore attaqué, et tu me donnes envie de m’y mettre au plus vite là ! (et je te souhaite une belle année remplie de bonheur et de couture soit dit en passant)
wahou! un jour moi aussi je n’aurais même pas peur! bravo!
Rooooooh! Merci pour ce petit lien 😉 En tout cas, une chose est sure, pour 2015, tu n’as pas perdu ta plume et c’est toujours un plaisir de te lire !! Vivement le prochain article !
Superbe réalisation, magnifiques photos et comme d’habitude, une prose tout simplement excellente à lire et à relire entre deux tranches de travail morose 😉 Merci de partager avec nous tes jolies réalisations. Je « plussoie » pour les problèmes de morphologie, ayant du reprendre énormément un patron Burda pour avoir un pantalon un tant soit peu ajusté. Pour ma part je testerais prochainement le pantalon Maurice de République du Chiffon qui a l’air d’être assez similaire. On verra… Encore merci pour tes articles si savoureux et bonne année à toi !!!
Je suis très frustré par mon français en ce moment! Ne étant pas en mesure de bien comprendre ton texte, la seule chose qui me reste à dire est j’adore!
Tu le portes très bien et j’aime beaucoup l’association de couleur! J’ai bien hâte de voir les autres et la manière dont tu les auras associés, le style etc… Pour ma part je ne vais pas m’en approcher car je vais ressembler à une bouteille d’Orangina retournée avec cette coupe;) Tout de bon pour cette nouvelle année Annie.
Quelle magnifique réalisation ! Ce pantalon est d’une grande classe et te va à merveille !… C’est toujours un grand plaisir de te lire Je te souhaite une très belle année 2015 !
Je trouve que ton ensemble est magnifique ! Le velours que tu as acheté va parfaitement avec la coupe du pantalon
Superbe article et réalisation, Christine de petits bonheurs dans mon atelier m’avait déjà pas mal convaincu qu’il ne fallait « pas avoir peur » mais là je suis plus que séduite. Au passage, meilleurs voeux pour 2015 et au plaisir de te rencontrer très bientôt. Caroline
Effectivement il sied bien à ta morphologie, et j’aime bien cette couleur lie de vin !
j’adore ce pantalon et je dois dire que je suis de plus en plus addict à ton blog! J’aime beaucoup ta façon d’écrire et de coudre!! belle année
Il te va à ravir ce pantalon, hate de voir les autres versions 😀
Je confirme, ce pantalon est idéal ! bravo pour ta version1 Je montrerai bientôt le mien. Tu peux aussi utiliser la triple couture pour les emmanchures, en général pour tout ce qui est soumis à une tension ! Belle année créative et je te souhaite de concrétiser tes projets, même si ce n’est pas ceux auxquels tu aspirais en premier !
Belle année 2015 à toi, Annie : qu’elle t’apporte ce que tu souhaites et pour lequel tu as tant bossé !!! Je crois que la messagerie FB déc*nne et que tu n’as pas eu mes coms, donc j’en profite un peu ici… Bravo pour ce même pas peur !!! J’ai le patron depuis le CSF mais n’ai pas encore osé me plonger dedans. Je suis sur la version courte de la veste Eagle de V. Pouzet, et vu ma perplexité devant l’étape 2 (!) que je ne dépasse pas, faute de compréhension, pour le moment, je suis privée de Même pas peur ! En tout cas, ta version est superbe et convaincante, de quoi convertir les plus dubitatives !!!!!!!!! Amitiés et bonne année !!! Mag.
Lire ton article sur le même pas peur me donne une seule envie : voir tes prochaines réalisations de ce pantalon que j’affectionne tout particulièrement.
Et bien Madame Annie Coton, je suis absolument ravie par ce superbe « petit » pantalon que vous nous dévoilez aujourd’hui. Et au risque de surprendre je ne vous cache pas que ce type de vêtement est à mes yeux, non seulement indispensable pour compléter une garde-robe, mais bien plus encore, un vêtement qui met vraiment en valeur la féminité, en dévoilant par exemple de fines chevilles (telles les vôtres), une taille soulignée et des jambes interminables. Je vous avoue par ailleurs avoir réalisé récemment mon tout premier « Même pas peur » et partager sans aucune réserve votre enthousiasme pour ce patron merveilleusement conçu. Bravo à vous Madame Annie Coton, merci pour cette si jolie plume et pour les photos ensoleillées de votre talentueux mari… et puis… ben je te souhaite une magnifique et audacieuse année 2015, beaucoup de bonheur et de succès et surtout DU PLAISIR! Bises affectueuses, Alice
Belle année à toi ! J’adore la couleur de ton pantalon et la coupe te va bien mais j’émets une réserve sur la longueur des jambes que je trouve trop courte à mon goût (traumatisme de jeunesse d’une trop grande pour son âge qui avait souvent des pantalon feu de plancher).
J’adore ta plume, et le modèle donne envie d’essayer, mais je n’ai pas encore un an de couture et je ne sais pas si c’est à ma portée. L’encyclopédie dont tu parles, je l’ai aussi; elle est top Merci et tous mes meilleurs voeux de fil en aiguille pour 2015. DS
Aaaah Annie… Est-ce le hasard ou m’as-tu réservé ce petit article en guise de cadeau de bonne année ? Tu me connais… J’adore te lire alors que mes pensées s’égarent dans les paysages divers que parcourt mon train… Et bien aujourd’hui tu n’as pas dérogé à la règle ! Donc merci pour ton soutien durant ce long trajet… 😉 Pour ce qui est du pantalon, je trouve ta version fort sympathique mais en même temps très frustrante pour moi… J’adore toutes les versions que j’ai pu voir de ce Même pas peur, ma super copine Cécile me l’a gentiment offert en rentrant du CSF et il n’y a rien à faire… Ma version ne va pas j’ai testé les modifs dont nous avions parlé (j’avais quand même 10cm en trop à la ceinture…??!!) mais la catastrophe, une fois les pinces modifiées je ne baillais plus autant à la ceinture mais alors aux fesses, une horreur !!! De rage j’ai récupéré mon beau liberty et bazarder mon pantalon au fin fond de la poubelle… Pour le moment j’hésite vraiment à revendre mon patron ou à tenter la taille S… Mais très franchement la première option est la plus envisageable à l’heure qu’il est… Je crois bien que ta théorie de la morphologie m’est tombée dessus… Ca ne peut pas toujours aller à tout le monde… Quoi qu’il en soit, j’espère pouvoir admirer tes autres versions qui j’en suis sûre me plairont toujours autant ! Je t’embrasse bien fort.
Ah!!! Je crois que je vuens de comprendre pourquoi mon pantalon est un peu lache…. je ne me souviens pas d’avoir entoilé la ceinture