Chères ami-e-s, (per i miei amici italiani, una piccola sintesi di questo articolo sarà disponibile stasera)
Voilà quelques mois que nous nous connaissons maintenant…il est donc temps que je m’allonge sur le divan et que je passe à confesse. Alors voilà….je suis esiteriophobe. Le correcteur d’orthographe – qui est un goujat et un ignorant- prend un malin plaisir à m’indiquer que ce mot n’existe pas mais moi je vous assure qu’il existe et que je l’utilise fort à propos, n’en déplaise à Monsieur-je-sais-tout.
Rassurez-vous, je ne suis pas entrain de vous révéler mon fétichisme inavouable pour les nains de jardin ou ma peur incontrôlable des pâquerettes. Je souffre (ô le bien grand mot) d’une phobie fort peu pratique…je déteste les transports. Et oui, j’ai des palpitations quand je prends le métropolitain – ce qui est franchement la honte pour une parisienne- des sueurs froides à l’idée de monter dans une voiture et des insomnies inquiètes trois semaines avant d’embarquer à bord d’un avion. Et surtout ne me rétorquez pas qu’un trajet en avion est plus sûr qu’un trajet en ascenseur, sinon vous allez me refiler une crise de tachycardie demain matin quand il faudra descendre en ascenseur.
Evidemment, tout cela n’avait rien à voir avec ma passion pour les salopettes (qu’aucun mot étrange ne définit…tenons-nous en donc à salopettophilie), jusqu’à je me lance dans cette séance photos pour vous présenter la salopette Turia, modèle topichouette créé par Pauline Alice : Pauline vous a emmené à la mer avec sa superbe version marine de la salopette Turia…et moi je pensais aller faire un tour avec vous à la campagne parmi les champs de blé, les ablais et les meules de foin à l’heure des moissons pour vous présenter ma première version de Turia…hélas, les terres aux confins du Loiret et de la Seine-et-Marnes sont bien pauvres et sont loin d’offrir les récoltes dorées de ma Normandie chérie. Autant vous dire que pour les meules de foin, on repassera : ici, on erre entre les plaines de betteraves fourragères et les pinèdes de la forêt de Fontainebleau. Il a donc fallu revoir ma copie et trouver une autre idée pour vous présenter Turia.
…Roulements de tambours, faites entrer le mari photographe et amateur de rideaux de grands-mères (pour celles et ceux qui suivent;) ) Je l’ai vu arriver avec ses gros sabots quand nous avons traversé cette voie ferrée désaffectée.
Lui : « Et là, ce serait sympa, non? »
Moi : « Euh…tu crois…écoute, c’est un peu rebattu comme idée non? »
Lui : « Pas plus que tes meules de foin. »
Moi : silence renfrogné – l’homme marque un point…après un temps de réflexion : « ton idée est stupide : prendre des photos sur une voie ferrée, c’est un coup à finir dans la rubrique faits divers du journal local. »
Lui : « Je vois mal comment un train passerait sur une voie ferrée désaffectée depuis la naissance de ton arrière grand-mère »
Moi : « Certes. Mais tout de même. On ne sait jamais. Je ne le sens pas sur ce coup là. Un train pourrait décider de revenir par ici sans crier gare »
Lui : « Ta mauvaise foi n’a pas de limites. Allez, file, ta salopette sera très bien ici »
Sur ces belles paroles, il a coupé le moteur et comme je n’ai pas mon permis pour les raisons expliquées plus haut, je n’ai eu d’autre choix que de le suivre sur cette voie ferrée. Alors voilà…je vous laisse avec ces photos où je tente vainement de cacher ma terreur en sautillant sur les voies avec la grâce d’une éléphante qui a vu une souris et j’espère que vous apprécierez à sa juste valeur l’acte courageux accompli pour vous présenter cette merveilleuse salopette.
Parlons en justement de Turia. Vous allez penser qu’en ce moment je crie mon enthousiasme à qui veut bien me lire dès que j’ai la chance de tester un modèle. C’est vrai. En même temps, je ne saurais pas faire autrement que de vous communiquer mon enthousiasme parce qu’il est sincère et honnête. J’aime le travail de Pauline en général, j’aime les salopettes en particulier alors quand Pauline rencontre une salopette, je suis aux anges.
Il est difficile de trouver des salopettes bien coupées dans le commerce. Trop ajustées ou pas assez, pattes d’eph’, destroy, trop habillée, la salopette du commerce n’est jamais celle dont je rêve. Il paraît pourtant que le temps sera aux salopettes cet hiver : alors quand j’ai vu le croquis de Pauline pour la salopette Turia, je l’ai tout de suite reconnue….elle, la salopette parfaite que je cherchais depuis si longtemps.
J’ai choisi de couper un « 36 Pauline Alice » c’est-à-dire un 36 parfaitement adapté à une poitrine de 84 cm, une taille de 66 cm et des hanches de 90 cm. Pour celles et ceux qui suivent, habituellement je suis obligée de faire un ajustement au niveau de la poitrine car je relève plutôt d’une taille 40 à ce niveau là (91/92 cm de tour de poitrine). Pour cette salopette ce n’était pas du tout nécessaire, puisqu’il me suffisait d’ajuster les bretelles pour que le haut de la salopette soit à ma taille. En bas, je fais un 66 cm à la taille et un 90 cm aux hanches : je n’ai fait aucune modification. Vous avez donc une image à peu près fidèle de ce que donne un 36 Pauline Alice. À mes yeux c’est impeccable.
Néanmoins, il est très facile d’ajuster les côtés de la salopette : Pauline nous le rappelle du reste dans ses explications. Au moment de fermer les côtés, il suffit de vérifier avec des épingles et d’ajuster la salopette à notre goût.
La salopette est conçue avec des passants décoratifs. Je les ai retirés au dernier moment car je trouvais qu’avec mon motif à rayures, il était impossible de les distinguer…en revanche pour mes prochaines versions, en jean et en lainage, je prévois de les garder.
Je fais 1m69 et j’ai choisi de faire un revers comme indiqué dans les explications mais sachez que cette salopette peut aussi se porter beaucoup plus longue et j’aurais pu faire un ourlet plus classique.
Il est temps maintenant de répondre à la seule question qui vaille : est-il difficile de coudre une salopette pour adulte? Avec les explications de Pauline, tout m’a paru si limpide que j’ai vraiment le sentiment que cette salopette s’est montée tout de seule. De facto, le montage est très simple. La seule difficulté technique consiste à poser deux fermetures éclair sur le côté : j’ai choisi de mettre deux fermetures invisibles (parce que c’était celles que j’avais en stock) mais théoriquement il faut poser des fermetures visibles ce qui est encore plus facile. Pour le reste, tout m’a paru simple.
Pour autant, je ne dirais pas que Turia s’adresse aux débutant-e-s en couture….en tout cas pas aux débutant-e-s qui débutent de la même manière que moi, c’est-à-dire en refusant de comprendre que la couture est l’école de la minutie, de la patience et qu’une création portée est une création bien finie…Turia est l’occasion ou jamais de devenir le/la pro des coutures rabattues. Exceptées les coutures latérales, toutes les coutures sont rabattues (de la même manière que pour une chemise d’homme…mais ne vous inquiétez pas, Pauline explique très bien la technique à employer dans son glossaire à la fin du livret d’explications). Cela vous permet d’obtenir une belle surpiqure double. De même, les poches (frontales, latérales et arrières) sont toutes finies par une surpiqûre double. La salopette a donc un look très pro sans qu’il soit besoin de sortir une surjeteuse.
Ce patron m’a donc conquise une fois de plus et je mesure la chance que j’ai eue de pouvoir le tester en avant-première! Merci Pauline!
Sachez qu’il existe en deux versions : version longue et version courte. J’ai choisi la sécurité en cousant la version longue (comprenez, j’ai fini par comprendre que l’été était définitivement pourri) mais en voyant la version courte proposée par Pauline, je suis à deux doigts de courir chez le marchand de tissus pour me coudre une troisième version. Et il me semble qu’une modification pour faire de Turia une salopette jupe est possible et que Pauline Alice va relayer le tutoriel de l’une de ses testeuses. Impossible de retrouver le lien, mais je vous l’ajoute très vite.
Je ne sais pas si Pauline a prévu un sew-along, mais je ne doute pas que son blog vous apportera très vite une mine d’idées et d’informations pour coudre Turia. Elle accompagne toujours le lancement de ses patrons avec beaucoup de soin et ses tutoriels vidéo, ses inspirations photo, ses explications sont toujours une mine et un excellent moyen de progresser. En plus, tout comme ses livrets d’explications, son blog est consultable en trois langues (anglais, espagnol et français). Comme disent nos amis d’Outre Manche, stay tuned!
Petit point sur le tissu : c’est une merveille de plus créée par Amandine : un sergé de coton bio diabolo grenadine de la collection Deer and Doe. Il est très léger, idéal pour l’été, agréable à coudre comme à porter. Le prix au mètre peut refroidir un peu mais j’ai craqué parce que je connaissais la qualité des tissus d’Amandine déjà utilisés à plusieurs reprises et que j’imaginais vraiment ma première version dans un motif à rayures…
Le nécessaire
Nécessaire | Description | Coût |
---|---|---|
Tissu et fournitures | 1m50 (24 euros le mètre) de sergé de coton diabolo grenadine, les trouvailles d’Amandine utilisé dans la laize ( et non dans le droit fil à cause du sens des rayures). Dans le droit fil 2m aurait été nécessaire. Des boucles de salopette commandées chez Rasco (3,95). Deux fermetures éclair de mon stock. | Environ 49 euros au total |
Patron | La salopette Turia de Pauline Alice existant en version pochette ou pdf. C’est un patron accessible au niveau intermédiaire. Il faut être soigneux avec les coutures rabattues et les surpiqûres pour obtenir un joli look professionnel. | 14€ le patron pochette 8€ la version pdf |
Modifications | Aucune. Je fais un 36 Pauline Alice au cm près et pour le buste je n’ai pas eu besoin d’ajustement grâce aux bretelles. |
Je sais que la salopette est en général un modèle qui divise. Je fais partie des inconditionnelles et j’imagine donc plusieurs déclinaisons de Turia. Quoi qu’il en soit, j’avais aperçu dans une des conversations du forum Thread and Needles que certain-e-s reprochaient aux créatrices indépendantes leur manque d’originalité! Je pense que Pauline Alice prend à chaque fois des risques pour présenter des patrons originaux et avec Turia, elle se démarque avec beaucoup d’élégance une fois de plus, non?
La bonne nouvelle c’est que je vous présente aussi un patron de Marisa (MLM patrons mercredi) auquel j’ai envie de faire le même compliment…les détails et les finitions sont très originales, mais, ne rêvez pas, je vais réussir à tenir ma langue jusqu’à mercredi!
Et je vous quitte en vous présentant à nouveau mes excuses : j’ai bien reçu vos messages ces deux dernières semaines (notamment pour mon anniversaire, merci!) mais je ne vais pouvoir répondre que ces jours-ci car je n’avais pas internet (oui c’est possible….).
Allez, je vous laisse avec James Stewart et Kim Novack dans Vertigo parce que sur des rails je me sens un peu comme Scottie en haut d’une échelle 😉
J’ai commandé un patron de salopette mais je n’ai pu aboutir pouvez vous m’aider.Je dois faire ce modèle pour le 15 juin.Merci de votre réponse.
oh! qu’elle est belle et comme elle te va bien !! Je suis moi aussi en admiration devant les si belles photos prises par ton mari qui est un vrai artiste.Et évidemment je me régale à te lire . Tout est si bien dit ! J’adore les salopettes ainsi que les combi-pantalons. J’en ai beaucoup porté dans les années 70-80 et même pendant mes grossesses parce que je trouvais ces vêtements à la fois pratiques et élégants . Alors je crois que je vais acheter ce patron et m’ en faire une pour cet hiver et je serais assez tentée par un beau cuir souple . Allez ! je vais voir ton dernier article , à bientôt, Chrisou
La voie empruntée par votre mari était bien sage et donne de magnifiques photos, bravo d’avoir surmonté votre peur, cette salopette est superbe !
Tes articles sont un véritable plaisir à lire, et tes photos sont vraiment magnifiques ! Bravo à ton homme ! Tu portes magnifiquement bien cette salopette, mais j’avoue avoir beaucoup de mal à me projeter dedans ! Peut être les futures me feront changer d’avis !! 🙂
Superbes photos ! Bravo à ton homme. S’agissant de la salopette (tu sembles partie pour une série, si j’en crois l’intitulé du billet), je n’ai que des a priori. Cette pièce de garde-robe des années 70 ne me rappelle que de mauvais souvenirs de galères avec les bretelles et de silhouette sans aucun style. Ici, tu balaies quelques-unes de mes réticences. La réalisation est parfaite (comme d’habitude), ta ligne sert le vêtement et le choix du tissu apporte beaucoup de fraîcheur. Néanmoins, je reste perplexe sur le caractère D&CO du vêtement … Tu ne m’en tiendras pas rigueur, j’espère ?
Comme esiteriophobe, je te comprends bien ( un vrai problème in the life ! ) mais bon, …je ne suis pas passée te raconter mes palpitations mais simplement te dire que depuis mon petit androïd des vacances, je suis passée voir et revoir cette merveille de salopette, cette merveille de blog tout simplement, cette merveille d’article….Tu es peut être esiteriophobe mais tu es surtout un être extraordinaire…Je t’embrasse….
Bravo ! ta 1ère photo est vraiment sublimissime ! Je trouve que tu as vraiment mis en valeur ce nouveau patron qui ne me tentait pas plus que ca !….. je ne suis pas particulièrement une fan des salopettes ……. mais je crois que je vais devoir réviser mes positions 🙂
ta version et les photos sont superbes tu as bien fait d’écouter ton mari! Figure-toi que j’avais exactement la m^me salopette rose et blanc quand j’avais une dizaine d’année que je l’adorais et que j’ai été désepérée quand elle est devenue trop petite. Et sur une jeune trentenaire ça fonctionne aussi très bien 😉 je suis complètement d’accord avec toi, je trouve que Pauline Alice est une des rares créatrices à suivre une route singulière, avec un travail rigoureux en amont et après la publication de ses patrons avec ses sew-along géniaux.
Wahouuuu ! Moi qui suis fan des salopettes et bien là avec cette version rayée, j’adore !!! Surement que je commanderai le patron pour cette automne déjà bien entamée… Merci pour ces jolies réalisations !!
OMG!!!!!!!!!!!!!!!! Elle est absolument sublime. J’aime les photos, j’aime le style, j’aime le tissu, j’aime le photographe qui a su immortaliser ces instants, j’aime le mannequin dont on ne voit jamais la tête mais qui lui donne un côté mistérieux…Bref j’aime. D’ailleurs tu ne sera pas étonnée d’apprendre que j’ai commandé le patron et que mon chambray que je réservais pour un ensemble jupe-haut est en train de se transformer dans ma tête en salopette. Sauf si je trouve mon bonheur demain chez MT 😉 Allez j’ai assez raconté ma vie vive les salopette!!!
Wahou, j’adore tout, la salopette qui te va à merveille, le tissu top, et alors les photos…..un délice, des merveilles, c’est un vrai plaisir de lire tes billets !!! Florence
Elle est adorable ta salopette et très flatteuse ! Mais moi les salopettes, je trouve ça un tantinet peu pratique notamment quand on passe sa vie dans les transports, comme moi! Félicite Eric : ses photos sont magnifiques
Je suis scotchée, totalement amoureuse de ce patron. Je la vois cet hiver dans un tissu de costume. Oh que oui je la vois cette salopette. Bravo pour ta version « fin d’août ». Et pour ta phobie… m’enfin je découvre quelque chose. J’espère qu’elle ne t’empêchera pas trop de découvrir le monde. Les phobies c’est compliquée (merci Dame Psychanalyste)
Elle te va tellement bien cette salopette ! Et tes photos sont vraiment superbes… Comme toujours 🙂
Merci ! Vraiment merci! C’est gentil comme tout ce message!
Ta salopette est vraiment merveilleuse! Un superbe choix de tissu, sublimé par ces somptueuses photos, et en particulier cette photo en noir et blanc…aie aie aie!!! Un grand bravo. Une nouvelle fois je suis conquise et je suis pour le coup impatiente de faire moi aussi ma petite Turia 😉
Je sens que je vais l’adorer ta petite Turia. Je suis morte de curiosité…quel tissu, quelle version vas-tu choisir? J’ai hâte de tout découvrir!
Ta salopette te vas à ravir ! Ton mari a eu bien raison de faire les photos sur cette voie ferrée, elles sont magnifiques ! Je ne suis pas fan des salopettes pour moi, pour une question pratique mais j’attends de voir la version jupe, qui sait…
Merci Joviana! Tes petits messages me font toujours très plaisir! J’ai hâte de voir ta mythique de post accouchement;)
Magnifique. Vraiment c’est une merveille mais je ne suis pas du tout fan des salopettes qui ne me vont pas… Je me contenterai donc d’admirer et ce n’est, pour le moment, pas du tout désagréable !!!
Ah ah tant mieux si ce n’est pas trop désagréable;) Et alors ce blog…toujours en projet;)?
Sublime ta version ! Merci pour les conseils, je pense me lancer dans une version hiver ! hâte d’être à mercredi pour voir le nouveau patron de mlm 🙂
Merci Mary (maintenant je ne me trompe plus de prénom…je sais que c’est Mary et pas Alice;) ) J’ai eu de la chance de pouvoir tester ces deux patrons, la salopette et le patron de Marisa qui sort mercredi. Il devrait te plaire! J’ai franchement hâte de voir les merveilles que tu vas encore réaliser avec ces deux patrons!!
oh, moi j’adoooore les salopettes. et je reve de celle là en version hiver. mais faut que je déniche le bon tissu! cette premiére version est top!!!! vivement la suite!
chère anonyme, merci pour ton message!! moi aussi j’adooooore les salopettes 😉
Magnifique salopette et superbe article, comme d’habitude nous sommes gâtés !!… Je sens que la version jupette va me plaire 🙂
Merci Alice pour tes si gentils messages qui me touchent vraiment! J’espère voir très vite une version jupette chez toi;)
Je craque, je fonce commander ce patron !
Et tu fais bien de craquer! J’ai hâte de découvrir ce que tu vas en faire!
Je suis une inconditionnelle des salopettes … Mais pour les enfants ! Je passe mon tour malgré un patron qui, sur la lancée des premiers patrons d’Alice, a l’air impeccable.
Ahah la salopette divise toujours;) Qui sait peut-être qu’une version jupe te ferait changer d’avis;)
I wish I could speak French so that I could read everything you’ve written! Your pictures are beautiful and the overalls look spectacular on you. I am making up a short pair in this pattern and I can’t wait to wear them, especially after having seen yours.
Thanks Bella! I hope I will soon find an efficient way to translate my text in english and in italian! I’m really looking forward to seeing your version!
Très jolie! C’est amusant, en voyant la photo noir et blanc, j’ai imaginé du rayé bleu et blanc, type Osh Kosh Be Gosh (que mes enfants ont eu le plaisir de porter bébés : trop chou!) et hop, tu nous sors du grenadine de ton chapeau de paille et c’est super réussi, of course! Je suis complètement d’accord avec ce que tu dis au sujet du travail de Pauline, tiens, elle réussi même à me faire rêver de salopette alors que franchement ce n’est pas mon truc. Mes compliments en tout cas pour la tienne, je l’aime beaucoup! Au passage, la version jupe est là : http://lapequenaaprendiz.blogspot.fr/2014/08/dungarees-turia.html
Oh merci Isabelle! Cela me touche d’autant plus que j’avais en tête les salopettes Osh Kosh Be Gosh de mon enfance en choisissant mon tissu;) Merci d’avoir retrouvé le lien, je ne savais plus du tout comment j’étais tombée dessus. Je vais l’intégrer tout de suite.
Je la vois bien en version courte et lainage pour l’hiver elle!
Oui moi aussi je l’imagine bien en lainage;) Tu as vu la version courte de Pauline, elle est très sympa non?
Oh que oui! c’est pour cela que je n’ai pas eu de mal à l’imaginer courte avec lainage. J’ai vu aussi la version jupe qui est très jolie 🙂